Astrid : Tes performances ont plusieurs effets dans l'espace public. Si on vient « seulement » pour les voir, comme spectateur, c'est déjà tout a fait impressionnant. Même une ville très peuplée par des spectateurs tombe sur le silence, parce qu'il faut faire attention aux bougies, on ne peut pas courir, les voitures ne peuvent pas passer. L'ensemble est une belle image, une peinture urbaine, qui invite à rester, à méditer. C'est très poétique.